Othon de Grandson, comte apprécié du Pays de Vaud, et sans doute le plus renommé des poètes du Comté de Savoie, revient en son château de Grandson, qu’il a fait reconstruire après un terrible incendie. Son charme fait des ravages auprès des gentes dames de son entourage… et va mettre en marche une terrible vengeance…
La mort suspecte d’Amédée VII de Savoie, la soif de gloire et le désir d’agrandir un domaine déjà conséquent, vont pousser un certain Jean de la Baume (futur Comte de Montrevel en Bresse, et petit fils du Galois de la Baume) à jouer un rôle nauséabond dans cette vengeance…
Sept ans de complots, de compromissions, de tractations, d’assassinats…
Sept années durant lesquelles des innocents seront broyés, des peuples conduits au bord de la guerre civile…
Sept années de médisances dont beaucoup auront du mal à se relever… Un roman historique vrai, une histoire véridique, dans laquelle tous les personnages ont réellement existé : les « bons » qui subirent les pires exactions, comme les « méchants » qui usèrent de tous leurs pouvoirs néfastes pour arriver à leurs fins. Seuls quelques individus subalternes ont été créés pour donner plus de liant à l’histoire, bien qu’ils ne semblent finalement pas être si imaginaires ! Une page d’Histoire, de cette Histoire dont on parle peu dans les grands livres de l’Histoire. Mais la « petite » Histoire n’a-t-elle pas toujours permis à la « grande » Histoire de dérouler sa trame ?
Robert Ferraris, 64 ans, retraité de l’Éducation Nationale. Si, plus jeune, j’étais passionné par les romans style fantasy, science-fiction et fantastique, j’ai bien vite découvert d’autres genres de la littérature, dont les thrillers et le polar. Je m’y suis essayé. Le virus était inoculé ! Depuis, j’ai à mon actif quelques policiers. J’ai toujours eu la plume qui me chatouillait. Depuis mon départ en retraite, j’ai plus de temps pour écrire, au point que je considère cela comme une sorte d’équilibre.
« Inventeur » en 1999 du Salon du Livre des Pays de l’Ain, connu depuis sous le nom de Salon d’Attignat. Ouvert d’abord aux auteurs locaux, il s’est élargi à tous ceux qui veulent rencontrer leurs lecteurs.